Aveux…
tu m'as
redonner le goût à la vie
la
savourer, la déguster en profiter
pouvoir
être joyeux apprécier et aimer
c'est
toi qui me fait comme je suis
j'ai le
goût de pouvoir être dans tes rêves
mais je
le sais c'est lui l'autre qui est représenter
par ton
imagination nocturne, déchaîner
moi je
ne suis que là en tant qu'ami et je rêves
pourquoi
ne me vois tu pas avec mon amour,
pour toi
se montrant éblouissant tous les toits
me
redonnant en la joie la foi
et en
l'amour un imprévu retour
mais ma
place n'est pas au centre de ton coeur
elle est
plutôt au centre de l'univers
c'est ca
place a lui que puis-je y faire?
alors
humblement je me retire sans laisser de fleur
1987
Enfance oubliée
J’ai
retrouvé mon enfance
Dans un
coin du grenier
Souvenirs
intenses
Dans une
boîte oubliée.
Poupée
de carton ?
Ah
oui... mon opération...
Je
n’étais qu’un gamin
Mais je
me souviens.
Jouets
par le temps usés
Tant de
saisons passées
A ne pas
savoir
Pourquoi
il fait noir !
Quelques
vêtements
À la
taille d’un enfant
Période
de la vie révolue
Rien à
faire, on y revient plus.
Un à un,
tout regarder
Sur le
bord de paniquer
Les
larmes aux joues accrochées
Désespérément,
pour ne pas tomber.
Vaut
mieux refermer maintenant
Pendant
qu’il en est encore temps.
Le
couvercle de la vie oubliée
La
laisser dans un coin du grenier…
1988
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