Le matin du jour
cruel
Tu n'as pas su
écarter le sort
De nos chemins
éternels
Faire fuir loin
d'elle la mort
Bercé par tes rires
La douceur de tes
caresses
Je pensais lui dire
Que la vie naissante
serait tendresse
Son ventre vivait
l'amour
Vibrait aux sons de
la douceur
Nos mains s'y
posaient chaque jour
Pour lui murmurer
notre bonheur
Elle est partie
vivre ailleurs
Cueillie par la dame
tout en noir
Son sourire moqueur
Revenait à sa place
le même soir
07.1973
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