dimanche 16 octobre 2016

Je te savais quelques part ! (Pensée)






Ode à la femme...

... celle qui reste l'éternel espoir des plus beaux rêves, qui existe ou n'existe pas, qui est là toute proche, ou plus loin, qui peut être ne saura jamais que ces mots sont pour elle.
Le romantique garde ce secret, que je vous dédicace incomplet, juste extrait d'un projet qui reste encore et toujours à parfaire pour elle.
Sur le ton d'une confidence admirative à mes amies .. je la vois ainsi...
...
La femme est, sans contredit, un des chefs d’œuvre, une des gloires de la création. C'est la brillante fleur qui relève le coloris de la nature et féconde le genre humain de ses doux parfums; c'est le rayon d'amour qui dissipe l’indifférence, qui réchauffe les sens et l'âme. Dieu en créant la femme la dota de toutes les richesses de l'organisation, de toutes les perfections de la forme, afin qu'elle fût la plus belle et la plus charmante des créatures. Et, en effet, nul être sur la terre n'offre autant de grâces, d’élégance et d'attraits. Examinez ce beau corps de jeune femme: quel ensemble harmonieux ! quelle délicatesse de détails ! partout la ligne glisse sur des surface veloutées; partout elle ondule mollement, se renfle, s'arrondit en relief, ou se déprime et se cache avec mystère; jamais d'angles ni de saillies brusques, toujours des courbes, suaves, ravissantes et de moelleux contours. Admirez cette longue et soyeuse chevelure qui ondule sur l'ivoire de ses épaules; regardez ses beaux yeux plein de tendresse et d'amour; et sur sa jolie bouche, qu'embellit le sourire, ne devinez-vous pas une promesse de bonheur ? car ainsi que la fleur sur le rameau promet un fruit, de même le sourire sur des lèvres de femme promet le plaisir. Et puis la douceur de sa peau, la délicatesse de sa main, dont le contact vous fait tressaillir; la souplesse de sa taille, la légèreté de sa marche, la grâce répandue dans ses moindres mouvements, tout annonce en elle un être fait pour charmer; pour plaire et être aimé. Oui la femme possède,; au suprême degré, cette beauté gracieuse et attrayante qui, en inspirant l'amour et l'admiration, lui assure à jamais le doux empire des cœurs.

Eh bien voici que ce commun emmuré dans mes rêves, prend forme en devenant extraordinaire. De tout ce que j'ai pu croire et admettre, elle s'est mise à exister sans s'annoncer, sans bruit, légère et discrète, par ce petit rien qui fait toute la différence. Quelques mots, signes de son existence, de sa réalité. Quelques mots juste suffisants pour que j'aille au-delà de sa beauté déjà apprise. Au delà j'ai découvert un cœur, un esprit, avec des mots, des sentiments qui ont éclairés ma vie. Elle s'est avancée, et ai trouvé aussitôt l'envie indéfinissable de faire un pas vers elle.
Je voyais bien là, pas seulement le chef-d’œuvre découvert dans tant de rêves, mais aussi ce halo de lumière qui envahit l'espace et rend tout si beau. J'ai senti naître ainsi l'amour. Toi.

Rien ne me fera oublier ce que tu es. Etoile filante qui griffa ma vie, laissant juste une trainée de cheveux d'ange figée dans mon ciel.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Magnifique. La sensibilité de l'admiration vraie. Je repasserai Véro