Silence
Tristes jours qui passez sans
la voir
Vos heures s'égrènent loin
de sa tendresse,
Vous êtes le cauchemar de mes
soirs
Ou mes soupirs toujours me
blessent.
Un instant sans elle est mon
supplice,
Que je supporte sans jamais
admettre,
De ne pouvoir sincère et
tendre complice,
Tenir la main qui n'est pas
prête.
Ses silences deviennent trop
lourds.
Regards perdus sur le temps
qui s'évade,
Cruels moments qui me jouez ce
tour,
Permettez encore que je la
regarde.
J'ai mal de ne plus l'entendre
vivre,
Rire et chanter même une
seule journée.
Pourquoi aimer ainsi a en être
ivre
De la douleur d'être un jour
né ?
Robert Trebor 01.99
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