Le regard dans la vague de tes pensées
Me font sentir l’immense peur du chemin
Qui se perd entre nos cœurs blessés
Des craintes de ce que sera demain
T’avouer ce que j’ai dessiné en moi
Glace le souffle de ma pudeur
Mais tu as deviné mon tendre émoi
Et vis peut être l’espoir d’une lueur
Reste toi, t’elle que tu es
Forte dehors, si fragile dedans
Ce que maintenant tu sais
Supportera que tu prennes le temps
Ensemble nous resteront sur le chemin
Qui nous conduit vers cet avenir
Tendre complicité de ce lendemain
Vers lequel nous conduisent nos sourires
RT - 12.1998
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